La gastronomie brésilienne, un véritable mélange de saveurs

Il n’y a pas une cuisine mais bien des cuisines brésiliennes. Tout comme son peuple métissé, la cuisine brésilienne-amalgame d’influences africaines, européennes, indigènes-est plurielle et savoureuse. Il y a des restaurant à tous les coins de rue qui proposent chacun leur spécialité.

Incontournables, nous avons siroté quelques caïpirinha – bon beaucoup trop, mais c’était pour la bonne cause, une immersion quoi 😉- délicieux cocktail brésilien à base de cachaça, de jus de citron, de glaçons pilés et de jus de canne.

Nous coups de cœurs : les salgados, espèce de beignets au manioc fourrés indifféremment de fromage, saucisses, de viande ou de poulet, que nous avons dégusté au quartier de Lapa, à 1 réal l’unité.

 

La « feijoada », plat brésilien par excellence, il s’agit d’haricots noirs mitonnés avec de la viande de porc, souvent servis avec du manioc et du riz, assez proche du « riz haricots rouge et viande cochon » bien connu en Guadeloupe (et je clos la parenthèse chauvine)

 

 

Nous avons dégusté dans un churrasco, un défilé de différentes découpes de viande servies à table. C’est une tradition bien installée que ces churrasco où boeuf, porc, poulet, agneau et autres « carne » soient servis sans discontinuer jusqu’à ce que vous n’en puissiez plus.

les adresses que nous avons aimé :
Carretao Ipanema Classic grill
churrascaria do Gaucho Foz de Iguazu

 

L’açai boisson nationale faite de baies brunes très énergisantes issues de palmier et consommées sans modération par tout carioca qui se respecte. Elle peut être agrémentée de céréales, coulis de fruits ou autres. On a goûté, mais je n’en garde pas un souvenir impérissable.

Le circuit gastronomique comprend également les nombreuses maisons à jus ou déguster les « sucos » à base de fruits frais, les foodtruck ou encore la cuisine de rue : les tapiocas (galettes de manioc fourrées au poulet, à la viande etc…) ou les brochettes de viandes cuites sous nos yeux.

Nous avons adoré les plats servis dans un Jazz Café de Lapa (sorry, on a perdu l’adresse)

Et la cuisine de Bahia, goûtée au Marché des artisans d’Ipanéma, un savant mélange de crevettes, de gombos, d’oignons, de tomates et d’une purée dont j’ignore totalement la composition, mais c’était bon donc c’est ça le plus important 🙂

Miam Miam, ça donne faim tout ça….

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